Je me souviendrais toujours lorsque j'étais en BEP, quand je travaillais au Relais à St Quentin Les Anges. Une bonne ambiance régniait dans l'équipe et chaque jour était un plaisir de travailler; cette sensation fût multiplier quand Mr Trottier, mon ancien patron , m'avait demandé d'être Maître d'Hôtel avec un collègue en cuisine à un mariage que j'ai accepter avec plaisir! Nous avons fixé un rendez-vous avec les mariés pour organiser ce mariage et la mariée était très stréssée ce qui nous a fait monter la pression. Le jour-j, aucunes erreurs est accepté, tout est prêt, c'est une longue et intensive journée en perspective. Au programme : Cocktail dehors de 260 personnes, 160 personnes à table pour le midi, 240 personne à table pour le soir et pour couronner le tout, cascade de champagne et sa pièce montée sans oublier les 10 jeux au cours du repas du midi... que du bonheur avec 9 serveursà la charge et une énorme pression sur le dos!!En tout cas, mon lit était le bienvenue. Ce fût une expérience inoubliable, que j'espère renouveller au maximum pour ma carrière professionnel.
samedi 24 janvier 2009
vendredi 23 janvier 2009
Mon jOurnAl IntiMe ...*
Jeudi 25 Juin 2009
Aujourd'hui est un grand jour, je passe mon examen de BEP en valence opposé, c'est-à-dire en option cuisine. Pour l'instant, tout va mal, je n'ai pas fermée l'oeil de la nuit; et à peine sortie du lit que je ressent la boule au ventre. Depuis un an que je travaille dessus, sur cet objectif que je veux atteindre à tout pris : LA REUSSITE. Après avoir regarder une dizaine de fois, si ce n'est pas plus, que je n'ai rien oublier dans mon sac; je me décide, enfin , de partir... 2h à l'avance, on ne sait jamais ce qui peut nous arriver sur la route! Plus je roule, plus j'arrive vers le centre d'examen, plus je sens monter en moi la pression. J'arrive enfin, cette attente m'ais insupportable. Je sort des vestiaires, et je sens mes jambes, mes mains ainsi que ma voix trembler; çà y est, j'ai le trac, faire un pas est un supplice pour moi. J'arrive ensuite devant la cuisine où tous les jury sont présents et là... trou de mémoire; toutes les bases de cuisine se sont effacés de mon disque dur interne, j'arrive à peine à me souvenir de ce qu'est une carotte... L'HEURE EST GRAVE!Il est exactement 8h10 et j''entends mon nom auquel je n'arrive même pas à répondre tellement que ma voix est nouée. Je donne ma convocation à ce jury qui m'a l'air plutôt froid et sévère; il me refroidi rien que de le regarder. Le moment tant attendu est arrivé : la lecture du sujet. Je sens la pression monté encore jusqu'au sommet, mais je m'accroche, je réfléchis à mon organisation... tout est pagaille dans ma tête. La seule chose à laquelle je pense en ce moment c'est "je veux réussir... bas-toi... donne tout ce que tu as dans le ventre mais ton objectif c'est.... réussis à tout prix!". L'épreuve est terminé, c'est à ce moment précis que je me sens vide, ce sentiment que l'on a lorsque l'on a tout donné!
Aujourd'hui est un grand jour, je passe mon examen de BEP en valence opposé, c'est-à-dire en option cuisine. Pour l'instant, tout va mal, je n'ai pas fermée l'oeil de la nuit; et à peine sortie du lit que je ressent la boule au ventre. Depuis un an que je travaille dessus, sur cet objectif que je veux atteindre à tout pris : LA REUSSITE. Après avoir regarder une dizaine de fois, si ce n'est pas plus, que je n'ai rien oublier dans mon sac; je me décide, enfin , de partir... 2h à l'avance, on ne sait jamais ce qui peut nous arriver sur la route! Plus je roule, plus j'arrive vers le centre d'examen, plus je sens monter en moi la pression. J'arrive enfin, cette attente m'ais insupportable. Je sort des vestiaires, et je sens mes jambes, mes mains ainsi que ma voix trembler; çà y est, j'ai le trac, faire un pas est un supplice pour moi. J'arrive ensuite devant la cuisine où tous les jury sont présents et là... trou de mémoire; toutes les bases de cuisine se sont effacés de mon disque dur interne, j'arrive à peine à me souvenir de ce qu'est une carotte... L'HEURE EST GRAVE!Il est exactement 8h10 et j''entends mon nom auquel je n'arrive même pas à répondre tellement que ma voix est nouée. Je donne ma convocation à ce jury qui m'a l'air plutôt froid et sévère; il me refroidi rien que de le regarder. Le moment tant attendu est arrivé : la lecture du sujet. Je sens la pression monté encore jusqu'au sommet, mais je m'accroche, je réfléchis à mon organisation... tout est pagaille dans ma tête. La seule chose à laquelle je pense en ce moment c'est "je veux réussir... bas-toi... donne tout ce que tu as dans le ventre mais ton objectif c'est.... réussis à tout prix!". L'épreuve est terminé, c'est à ce moment précis que je me sens vide, ce sentiment que l'on a lorsque l'on a tout donné!
Christelle*
jeudi 15 janvier 2009
Je ...
Anne Frank ( 1929-1945) commença à tenir son Journal le 12 juin 1942, jour de ses treize ans, dans le cahier qu’elle avait reçu pour son anniversaire. Elle était alors en cinquième. Trois semaines plus tard, avec sa famille qui était juive, elle quittait sa maison pour toujours, afin d’échapper aux S.S. Anne, sa sœur, ses parents ainsi qu’une famille pourchassée, vécurent cachés deux ans, dans la partie désaffectée d’un vieil immeuble d’ Amsterdam. Pendant ce temps, Anne écrivit régulièrement son Journal, jusqu’à l’arrestation de tous les habitants de l’immeuble, le 4 août 1944. Anne mourut en mars 1945, au camp de concentration de Bergen-Belsen. Nous présentons ici l’une des premières pages de son Journal.
Samedi 20 juin 1942
Il y a plusieurs jours que je n’ai plus écrit ; il me fallait réfléchir une fois pour toutes à ce que signifie un Journal. C’est pour moi une sensation bien singulière que d’exprimer mes pensées, non seulement parce que je n’ai jamais écrit encore, mais parce qu’il me semble que, plus tard, ni moi ni qui que ce soit d’autre ne s’intéresserait aux confidences d’une écolière de treize ans. Enfin, cela n’a aucune importance. J’ai envie d’écrire, et bien plus encore de sonder mon cœur à propos de toutes sortes de choses.
" Le papier est plus patient que les hommes. " Ce dicton me traversa l’esprit alors qu’un jour de légère mélancolie je m’ennuyais à cent sous l’heure, la tête appuyée sur les mains, trop cafardeuse pour me décider à sortir ou à rester chez moi. Oui, en effet, le papier est patient, et, comme je présume que personne ne se souciera de cahier cartonné dignement intitulé Journal, je n’ai aucune intention de jamais le faire lire, à moins que je ne rencontre dans ma vie l’Ami ou l’Amie à qui le montrer. Me voilà arrivée au point de départ, à l’idée de commencer ce Journal : je n’ai pas d’amie.
Afin d’être plus claire, je m’explique encore. Personne ne voudra croire qu’une fillette de treize ans se trouve seule au monde. D’ailleurs, ce n’est pas tout à fait vrai : j’ai des parents que j’aime beaucoup et une sœur de seize ans ; j’ai, tout compte fait, une trentaine de camarades parmi lesquels de soi-disant amies ; j’ai des admirateurs à la pelle qui me suivent du regard, tandis que ceux qui, en classe, sont mal placés pour me voir, tentent de saisir mon image à l’aide d’une petite lampe de poche. J’ai de la famille, d’aimables oncles et tantes, un foyer agréable, non, il ne me manque rien apparemment, sauf l’Amie. Avec mes camarades, je ne puis que m’amuser, rien de plus.Je ne parviens jamais à parler avec eux d’autres choses que de banalités, même avec une de mes amies, car il nous est impossible de devenir plus intimes, c’est là le hic. Ce manque de confiance est peut-être mon défaut à moi. En tout cas, je me trouve devant un fait accompli, et c’est assez dommage de ne pas pouvoir l’ignorer.
C’est là la raison d’être de ce Journal. Afin de mieux évoquer l’image que je me fais d’une amie longuement attendue, je ne veux pas me limiter à de simples faits, comme le font tant d’autres, mais je désire que ce Journal personnifie l’Amie. Et cette amie s’appellera Kitty.
Samedi 20 juin 1942
Il y a plusieurs jours que je n’ai plus écrit ; il me fallait réfléchir une fois pour toutes à ce que signifie un Journal. C’est pour moi une sensation bien singulière que d’exprimer mes pensées, non seulement parce que je n’ai jamais écrit encore, mais parce qu’il me semble que, plus tard, ni moi ni qui que ce soit d’autre ne s’intéresserait aux confidences d’une écolière de treize ans. Enfin, cela n’a aucune importance. J’ai envie d’écrire, et bien plus encore de sonder mon cœur à propos de toutes sortes de choses.
" Le papier est plus patient que les hommes. " Ce dicton me traversa l’esprit alors qu’un jour de légère mélancolie je m’ennuyais à cent sous l’heure, la tête appuyée sur les mains, trop cafardeuse pour me décider à sortir ou à rester chez moi. Oui, en effet, le papier est patient, et, comme je présume que personne ne se souciera de cahier cartonné dignement intitulé Journal, je n’ai aucune intention de jamais le faire lire, à moins que je ne rencontre dans ma vie l’Ami ou l’Amie à qui le montrer. Me voilà arrivée au point de départ, à l’idée de commencer ce Journal : je n’ai pas d’amie.
Afin d’être plus claire, je m’explique encore. Personne ne voudra croire qu’une fillette de treize ans se trouve seule au monde. D’ailleurs, ce n’est pas tout à fait vrai : j’ai des parents que j’aime beaucoup et une sœur de seize ans ; j’ai, tout compte fait, une trentaine de camarades parmi lesquels de soi-disant amies ; j’ai des admirateurs à la pelle qui me suivent du regard, tandis que ceux qui, en classe, sont mal placés pour me voir, tentent de saisir mon image à l’aide d’une petite lampe de poche. J’ai de la famille, d’aimables oncles et tantes, un foyer agréable, non, il ne me manque rien apparemment, sauf l’Amie. Avec mes camarades, je ne puis que m’amuser, rien de plus.Je ne parviens jamais à parler avec eux d’autres choses que de banalités, même avec une de mes amies, car il nous est impossible de devenir plus intimes, c’est là le hic. Ce manque de confiance est peut-être mon défaut à moi. En tout cas, je me trouve devant un fait accompli, et c’est assez dommage de ne pas pouvoir l’ignorer.
C’est là la raison d’être de ce Journal. Afin de mieux évoquer l’image que je me fais d’une amie longuement attendue, je ne veux pas me limiter à de simples faits, comme le font tant d’autres, mais je désire que ce Journal personnifie l’Amie. Et cette amie s’appellera Kitty.
Extraits du journal d'Anne Franck
LE JOURNAL INTIME
Un journal intime est un écrit dans lequel quelqu'un manifeste un souci quotidien de son âme, considère que le salut ou l'amélioration de son âme se fait au jour le jour, est soumis à la succession, à la répétition des jours, source de permanence et de variation. Il peut être sous forme de lettre, comme le journal d'Anne Franck, ou bien sous forme de roman. Un auteur écrivant un journal intime est appelé un "Diariste".
LE JOURNAL INTIME
Un journal intime est un écrit dans lequel quelqu'un manifeste un souci quotidien de son âme, considère que le salut ou l'amélioration de son âme se fait au jour le jour, est soumis à la succession, à la répétition des jours, source de permanence et de variation. Il peut être sous forme de lettre, comme le journal d'Anne Franck, ou bien sous forme de roman. Un auteur écrivant un journal intime est appelé un "Diariste".
Quelques diaristes ...
Pascal Sevran
et bien d'autre encore ...
Et SI ...*
Messieurs de l'Assemblée Nationale, vous êtes-vous déja poser la question à quoi servait une poubelle? C'est une question éxistentielle à laquelle je vais vous répondre. Une poubelle ne vous sert à rien tout simplement, elle sert juste à produire des odeurs nauséabondes chaque jour et dans chacun de nos foyers. C'est pour cela, Messieurs, que je voulais vous faire part de ma proposition de loi. Je veux à partir, d'aujourd'hui, jeter toutes nos ordures par les fenêtres. Oui, messieurs, vous m'avez bien entendu! Pourquoi? Nous-en avons tous la réponse. Cela nous permettra de prendre conscience des déchets que nous produisons car au jour d'aujourd'hui personne, ni vous, ni moi ne fait attention aux ordures que nous laissons. A cet effet, nous arrêterons donc la production de sacs poubelles et de poubelles dans les usines car elles nous seront désormais inutile. C'est un geste écologique car ces sacs sont en plastiques et très nocifs pour notre planète. Une poubelle détruit tout l'environnement que nous avons construits au fil des jours dans notre maison c'est-à-dire les décorations. Cet objet est une misère et rien de plus, je peux vous l'assurer. Grâce à cette loi, Messieurs, je vous le certifie, nous avancerons tous ensemble, tant sur le point écologique en limitant nos ordures ménagers mais également sur le point esthétique car désormais nous harmoniserons notre quotidien avec des odeurs agréables.
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